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# Forum créé le 30 Mars 2015 par Trish et Thélos.
# Thème par Trish
# Codage de Never Utopia et Simon Asbjörn
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Contexte
Eius populus ab incunabulis primis ad usque pueritiae tempus extremum, quod annis circumcluditur fere trecentis, circummurana pertulit bella, deinde aetatem ingressus adultam post multiplices bellorum aerumnas Alpes transcendit et fretum, in iuvenem erectus et virum ex omni plaga quam orbis ambit inmensus, reportavit laureas et triumphos, iamque vergens in senium et nomine solo aliquotiens vincens ad tranquilliora vitae discessit.
Evénements
Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli ?
Duplexque isdem diebus acciderat malum, quod et Theophilum insontem atrox interceperat casus, et Serenianus dignus exsecratione cunctorum, innoxius, modo non reclamante publico vigore, discessit.
Listen the war rage on
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 Mirror, tell me something ~♪

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Tiara Diamond
Tiara Diamond

Tiara DIAMOND



Fiche d'identité.


Mirror, tell me something ~♪ 929428Tiaravava
Weiss Schnee de RWBY
Nom : Diamond.
Prénom : Tiara.
Âge : 20 ans.
Lieu de naissance : Sigma.
Ville de départ : Sigma.
Allégeance : Sigma.
Groupe : Ranger.
Starter : Hélionceau femelle : Ambriel.




Ton Caractère



Bien le bonjour à vous. Je ne sais qui vous êtes, ni ce que vous voulez. Et pour tout vous dire, je ne veux pas le savoir. Savez-vous à qui vous avez à faire, espèce de rustre ? Laissez-moi éclairer vos pauvres lanternes dans ce cas !

Je me prénomme Tiara Diamond, dernière enfant d’un couple influant de la belle cité de Sigma. Vous l’aurez donc compris, je suis issue de la haute société. Mon caractère correspond donc, dans une certaine mesure, à ce qu’on attend d’un tel milieu social. A savoir que je suis quelqu’un d’exigeant. Très capricieuse même, mais cela fait partie de mon charme. Mais que voulez-vous ? Je me dois de faire honneur à ma famille, à ma naissance. La chance m’a souri, comme on dit. Enfin.

Certains jaloux diront que j’ai mauvais caractère. Soit, qu’ils pensent ce qu’ils veulent, ces rustres. Moi, je suis juste autoritaire, parce que c’est mon droit. Après tout, ne suis-je pas la fille bien aimée de la famille ? La plus belle d’entre toutes ? Laissez-moi rire !

Prétentieuse ? Moi ? Non mais pour qui vous prenez vous, espèce de sale personnage ! Vous qui ne me connaissez pas, apprenez que j’ai un fort caractère et qu’il vaut mieux éviter de me mettre à dos. Je ne suis point méchante, juste rancunière. A vous de voir si vous souhaitez toujours m’avoir contre vous, plutôt qu’avec vous.

Pour continuer, sachez que je suis intelligente, mais pas plus qu’un autre. La seule différence c’est que moi, j’ai de la culture. On m’a obligé à étudier sérieusement, un peu trop parfois. Ce qui fait au final que je me suis quelque peu rebeller. J’ai un esprit de compétition plutôt farouche après tout, je n’aime pas qu’on défit mon autorité et je pense que parfois, il serait bon qu’on me remette à ma place. Ce qui n’est encore jamais vraiment arrivé.

Je suis une personne franche. Je ne passe pas par quatre chemins pour vous raconter vos vérités, croyez-moi. Vous avez dû le constater de toute façon. Je ne mâche pas mes mots et parfois, ça m’attire des ennuis. Il peut arriver aussi que je blesse les autres sans m’en rendre compte. Malheureusement mon éducation a toujours une forte influence sur moi, même si je souhaiterais m’en débarrasser pour toujours.

Un petit détail, qui peut avoir son importance. Mon père voulait un garçon, encore. Mais il m’a eu moi. Alors je peux vous dire qu’il m’a beaucoup mis la pression, et que cela pose encore sur mes épaules. De ce fait, il n’a jamais tenu compte de ma possible délicatesse et m’a traité comme mes frères. J’ai donc eu le droit à des cours d’escrime. J’ai d’ailleurs, sans vouloir me mettre en avant, un excellent niveau. Je me base principalement sur la vitesse plutôt que la force.

Mais là, je ne vous ai présenté que la partie supérieure de l’iceberg. Apprenez donc que, sous mes airs de capricieuse hautaine, je suis une personne combattive et amoureuse de la nature. J’ai toujours été fascinée par les pokémon et l’environnement. Ma saison préférée est l’hiver, car je trouve la neige extrêmement belle et captivante. Blanche. Libre.

Avec mes amis. Attention. Je vous parle ici des vrais compagnons. Ceux qui seront toujours là pour vous, quoi qu’il arrive. Ceux en qui vous pouvez avoir confiance, les yeux fermés. Ceux qui ne vous jugent pas et qui restent à vos côtés, toujours. Ceux qu’on ne trouve jamais. Pour eux, je suis prête à tout. Déterminée, un peu trop. J’ai tendance à me pousser à bout sans prendre compte de mon état de santé ou de celui de mon pokémon.

N’allez pas croire. J’aime ma petite Ambriel. Elle est ce que j’ai de plus chère au monde. Elle me complète parfaitement, me comprend comme personne. C’est juste que, toutes les deux, nous nous donnons à fond pour ce en quoi nous croyons, sans faire attention. Un peu tête en l’air en somme. D’ailleurs, lorsqu’on sort des protocoles bien huilés de la haute société, je suis plutôt maladroite et inculte.

Un dernier aspect de ma personnalité que je voudrais partager avec vous : mon sens de la justice. Oui, il ne faut pas croire que je suis véreuse ou cupide comme tous ces péteux de snobs. Moi, je suis pour l’égalité de tout le monde. Surtout devant la loi. Les criminels me dégoûtent profondément, en particulier les braconniers. Pour eux, je ne fais preuve d’aucune pitié, sans même chercher à comprendre leurs raisons. Parce que de toute façon, ils ont forcément tort. Là-dessus, je ne suis vraiment pas bonne, comme on dit dans la plèbe. Avec ma détermination, je pourrais les traquer jusqu’au bout du monde, rien que pour les jeter en cellule.

Vous savez quoi ? Vous avez de la chance. Je vous envie. Oui, vous avez bien entendu, refermez donc cette bouche immonde. Vous n’avez pas l’exigence dure d’une grande et prestigieuse famille à porter sur vos épaules. Vous n’avez pas l’impression de décevoir tout le monde autour de vous dès que vous faîtes un geste ou dîtes un mot. Vous ne sentez pas le regard glacial et calculateur de vos parents dans votre dos, peu importe où vous êtes. La tristesse de l’incompréhension, la différence, l’honneur qu’il faut garder à tout prix. Vous ignorez ce que j’endure chaque jour. Vous ne me devinez pas le poids de mon statut, ne comprenez pas mon attitude, la signification de l’échec pour moi. Vous ne concevez pas la douleur, la peur qui me lacère de l’intérieur. Vous n’assimilez pas la chance que vous avez. Vous n’entendez pas mes pleurs, n’imaginez pas ma honte, mon effroi devant l’échec. Vous ne réalisez pas que je pourrais donner ma vie pour ma famille, même si ils me détestent, même si je les dégoûte.

Vous ne me connaissez pas du tout.



Ton physique.



Vous êtes toujours là ? Bien ! Nous pouvons continuer la présentation alors. Puisque nous avons évoqué le mental, autant finir le reste, vous ne pensez pas ? De toute façon, vous allez voir, je suis inoubliable. Mes parents m’ont toujours désigné comme le diamant de la famille.

Commençons par le plus évident. Même vous, vous devriez arriver à deviner sans mal que je suis une demoiselle dans la fleur de l’âge. Belle, captivante, enchanteresse. On m’a déjà donné beaucoup d’adjectifs mélioratifs.   Et sans me vanter, ils sont plutôt proches de la réalité.

Je ne suis pas vilaine à regarder, loin de là. Ma longue chevelure est d’une blancheur immaculée. J’aime que ma coiffure soit impeccable. Mes cheveux sont ornés d’un objet particulier : un cadeau de mon frère, le seul et unique, que je chéris plus que tout au monde. Une petite couronne argentée, posée à la base de ma queue de cheval.

En continuant, on tombe sur ma peau plutôt blanchâtre, sans tomber dans l’excès. Je ne suis pas un « vampire » ou autre fantaisie. Cette dernière est douce et délicate, je marque facilement. Et surtout, elle est vierge de toute imperfection. Normalement. Car voyez-vous, il s’est passé un jour, un événement tragique qui marqua le début de ma chute. Une cicatrice, fine, légère. A peine visible si on ne sait pas qu’elle est là. Au niveau de l’œil gauche. Je la masque sous le maquillage.

En parlant des yeux, les miens sont d’un bleu clair saisissant. Parfois, en fonction de la luminosité, on pourrait croire qu’ils sont gris. Mais je vous assure qu’ils sont bleus, comme le ciel ou l’eau. Un bleu glacial. Je n’ai pas grand-chose à raconter sur le reste de mon physique. Je suis plutôt petite, avec mon mètre soixante-sept. C’est quelque chose que je vis assez mal, à cause de ma famille.

Concernant mon style vestimentaire, vous ne me verrez jamais en jeans, pantalon ou autres habits de la sorte. Je ne m’habille qu’avec des jupes, des robes ou parfois des shorts, car plus pratique pour le sport. Ma tenue classique est une robe blanche en partant du haut, pour continuer en un gradué de bleu jusqu’à la base, qui correspond à une couleur proche de celle de mes yeux. Une petite veste vient couvrir mes épaules dénudées, blanche elle aussi avec l’intérieur rouge. Tout comme mes bottes. Enfin, le reste, vous le voyez bien de vous-même, non ?

J’ai menti tout à l’heure. J’ai reçu un autre présent de la part de ma famille. Un collier en forme de goutte d’eau. Je le porte comme on porte un fardeau. Il est là pour me rappeler qui je suis, d’où je viens et surtout, ce qu’on attend de moi.

Si je suis un diamant, pourquoi me sens-je comme si j’étais sur le point de me briser ?




Ton histoire.



Afin de satisfaire votre curiosité sans borne, j’imagine devoir vous raconter ma vie en détail, hum ? Soit, puisqu’il le faut. Au moins, quelqu’un aura tout entendu et peut-être parviendrez-vous à me comprendre un peu mieux, si cela est possible.

Laissez-moi vous présenter tout d’abord ma famille. Mon père, Cronos, est un puissant négociant qui a fait fortune en marchandant le plus pur des matériaux : la soie. Quand il a rencontré ma mère, Falia, mannequin célèbre, ils sont tout de suite tombés sous le charme de l’un et de l’autre. Ou bien de la fortune de l’autre partie, qu’en sais-je ? En tout cas, ils se marièrent bien vite et ma mère abandonna sa carrière pour ouvrir une boutique de vêtement, fournie bien entendu par l’excellente soie de mon paternel. Autrement dit : un couple charmant et de bonne réputation, œuvrant pour habiller la population de Sigma des plus belles parures.

Peu de temps après leur mariage, mon premier frère, Stefan, vient au monde. Il était la fierté de mes parents, le futur héritier de la famille Diamond. Le plus beau, le plus fort. Et ça dure encore, croyez-moi. Que n’ai-je pas entendu les comparaisons les plus diverses et variées entre nous deux. Je vous laisse deviner de quel côté j’étais située.
Est venu ensuite mon second frère, Ferdinand. Le plus intelligent, le plus gracieux. Et ça aussi, c’est encore d’actualité dans la famille. Toujours des comparaisons, plus nombreuses, plus dures. Plus blessantes. Il est le petit génie, celui qui a un avenir plus brillant que le soleil même. Oui, on est modeste dans la famille. Héréditaire sans nul doute.

Et enfin, il y a la petite dernière. L’inattendue, la non-voulue. Oui, moi-même. Mon père voulait un garçon, encore une fois. Il voulait un sportif, habile, rapide, stratège. Il voulait la gloire et la reconnaissance sur sa famille, dans tous les domaines. Imaginez sa tête lorsque le médecin lui avait annoncé la bonne nouvelle.

Au début, ma mère avait des projets pour moi. Suivre ses traces, marcher dans ses pas. Continuer la carrière qu’elle avait abandonnée et briller comme une étoile scintillante. Je devais être la meilleure, dépasser les autres, sans leur laisser une chance de victoire.

Bien entendu, mon père n’était pas homme à renoncer. En parallèle de ma scolarité ordinaire, j’avais donc le droit aux cours d’escrime ou de mode, supervisés par ma mère ou mon père. Stefan et Ferdinand n’étaient en reste. On leur avait demandé, si cela ne les dérangeait pas plus que de raison, de bien vouloir parfaire à mon éducation et ma culture générale.

Binoclard, comme j’aime à le surnommer, ne m’aime pas. En fait, il me déteste proprement et presque autant que moi je le déteste. Tout simplement parce que, au fil du temps, j’avais développé une intelligence un peu plus supérieure à la sienne à mon âge. Je n’avais qu’une dizaine d’années à ce temps-là et j’avais du mal à comprendre son comportement.  

Mon niveau d’escrime était en constante évolution et bientôt je rivalisais avec les meilleurs de mes catégories. Je réussissais bien mieux dans ce sport qu’à la couture ou la cuisine. On abandonna d’ailleurs l’idée de faire de moi une noble Dame. Surtout lorsque j’ai commencé à répondre, m’enfuir, crier et insulter copieusement mes tuteurs.

J’étais une enfant turbulente. En manque d’affection peut-être ? En tout cas, ma réputation n’était plus à faire et cela allait forcément nuire à ma famille. Cronos, mon père, se mit dans une colère plus noire que le charbon, digne d’un Raikou en furie. Je puis vous assurer que depuis ce temps, on ne pouvait rien me reprocher.

Que nenni. Tous les malheurs du monde étaient de ma faute, depuis cette erreur de jeunesse. Le poids sur mes épaules était lourd et pesant. On m’avait bien fait comprendre les enjeux de ma conduite, ce qui pouvait et arriverait si je continuais dans la voie de la rébellion. J’aurais pu tout abandonner à ce moment, seule et perdue.

Et puis un jour, dans la belle cité de Sigma, on clama mon nom pour autre chose que des faits divers. Je n’étais plus la troisième roue du carrosse, mais le magnifique cheval blanc. A peine âgée de quinze ans, dans mon quartier on ne parlait plus que de ça. La dernière Diamond avait enfin trouvé sa voie : la musique. Et plus particulièrement le chant.

Pour une fois, on était fier de moi. On m’applaudissait, me félicitait. On m’aimait. Oh, comme j’étais heureuse subitement. Je souriais avec sincérité, comme jamais auparavant. Je rentrais chez moi, folle de joie à l’idée de voir l’admiration de ma famille. Que j’attends toujours, soit dit en passant.

Personne n’avait remarqué, ou alors ils faisaient tous semblant. « Bien », m’a-t-on répondu au mieux. « Et alors ? » criait-on lorsque je réclamais un peu d’attention. Je n’étais encore une fois qu’une ratée. Les seuls qui m’aimaient vraiment, qui me comprenaient et que me félicitèrent n’étaient autres que les servants de la famille, que j’appréciais particulièrement. Parfois, je les enviais et aurais tout donné pour être avec eux.

Enfin arriva mes dix-huit ans. On commençait vraiment à parler de moi et de ma voix qu’on disait exceptionnelle. Personnellement, je ne trouvais rien de spécial à ma sonorité et cela n’a pas changé mais soit. Ma mère s’intéressa finalement à sa fille, tandis que mon père tentait de bien se faire voir. Je l’appris peu de temps après, il avait réussi à obtenir une proposition de mariage arrangé.

Je venais de donner une petite représentation. La foule criait, ma mère me félicitait faussement devant les managers tandis que mon père était encore à flirter avec les politiciens de passage. J’entendis un bruit, provenant des coulisses. Curieuse, je me lançais à la poursuite du vacarme, voulant comprendre ce qui en était la source.
Je finis par déboucher sur la ruelle dehors. Devant moi, fouillant maintenant dans une poubelle, un petit pokémon. Si je n’en avais presque pas côtoyé, ceux de ma famille étant…spéciaux, j’en connaissais un rayon. Ces créatures me fascinaient et je voulais véritablement posséder moi aussi une de ces magnifiques bêtes.

Je reconnus donc sans mal une petite Hélionceau. La pauvre était sale, blessée. Perdue et seule. Tout comme moi. Et alors, je ne pouvais que me reconnaitre dans ses yeux emplis de détermination, de peur, de honte mais aussi de défis. Elle représentait parfaitement mon contraire social, avec un caractère semblable.

Lorsque je voulus l’approcher, elle prit peur sans doute, et me mordit la main sauvagement. J’hurlais de douleur, la faisant déguerpir. Ma mère, me découvrant dans la poussière de la ruelle, la main ensanglantée et les vêtements tâchés piqua une crise mémorable sur mon comportement indigne, dangereux, irresponsable et capricieux.

Bien entendu, j’eus le droit à une très longue leçon en rentrant, de la part de mon père. Mais je n’écoutais pas, mon esprit vagabondant vers la petite Hélionceau. Cronos, le remarquant, me demanda la raison de ma distraction. Apprenant que j’avais osé approcher un pokémon sauvage, il se mit en colère et m’annonça formellement de plus entrer en contact avec la petite.

Mais ça, il en était hors de question. Le lendemain, je prenais de quoi m’occuper d’elle et la rejoignit dans la même ruelle. La petite lionne était là, fouillant à la recherche d’un peu de nourriture. Doucement, je lui tendis de quoi se restaurer. Elle ne voulait pas approcher. Faisant fi de la poussière, je m’installais non loin et me mise à lui parler. Je lui racontais ma pauvre vie, comme je le fais actuellement pour vous. Je lui confiais mes peurs, mes doutes, mes angoisses. Nous ne nous connaissions pas, mais je savais que je pouvais parler en toute liberté avec elle. Je me sentais bien.

Elle finit par se détendre et mangea avec appétit. Je pus ensuite la nettoyer un peu et bander sa patte blessée. Je prenais alors une décision : cette petite serait mon pokémon. Ma partenaire de cœur. Je décidais alors de la ramener à la maison.
Mais sachant d’avance la réaction de mes parents, je tentais de la dissimuler. Cela fonctionna deux jours, avant qu’une servante ne tombe dessus. Heureusement, je pouvais lui faire confiance. Mais la petite Ambriel ne savait pas et avait surtout besoin de liberté. Elle allait beaucoup mieux maintenant.

Aussi profita-t-elle du passage de la servante pour s’enfuir et courir dans la maison. La réaction de mes parents ne se fit pas attendre. Ma mère hurla de peur tandis que mon père fulminait de rage. Mes frères arrivèrent à attraper Ambriel et allaient la jeter dehors sans ménagement quand j’intervenais.

Je reçus la correction la plus violente de toute ma vie. Mon père était plus que furieux et me gifla fortement. La première fois de toute ma vie qu’on portait la main sur moi. Surprise et sous la force du coup, je tombais à la renverse. Directement sur l’argenterie familiale. Ne vous inquiétez pas. Je ne fus que très légèrement blessée. Mon amour propre un peu moins.

Une cicatrice apparue sur mon visage, me défigurant aux yeux de ma famille, mais aussi des voisins et de la population en général. Mon ancienne popularité était de l’histoire ancienne et c’était tant mieux. J’avais dix-neuf ans, il était temps de voler de mes propres ailes. Récupérant des affaires et Ambriel, je fis le nécessaire pour mon avenir.

Je décidais de tourner le dos à ma famille si peu aimante. Je voulais m’investir pour les autres et non profiter de ma richesse. Je voulais aider, apprendre et surtout être en contact avec des pokémon. La solution s’imposa d’elle-même : les Rangers.

Je devais tenter l’expérience et avec Ambriel, nous nous sommes engagées. J’eus beaucoup de mal au début, il faut bien l’admettre. Ce n’était plus du tout le même environnement. Mais cela me convenait. Mon esprit de compétition était mis à l’épreuve, ma volonté aussi. On me remettait à ma place, on m’enseignait, on me regardait normalement. Pas de traitement de faveur.

Et voilà, comment j’en suis arrivée là. Vous comprenez peut-être mieux mon comportement. Et ne vous y trompez pas. J’ai peut-être l’air ainsi, mais les pokémon et la nature sont désormais ma famille, bien plus que les liens du sang. Alors gare à vous si je vous vois faire n’importe quoi sur mon, ahem, sur notre territoire !




Et vous ?


Prénom : Winter-Foxy est mon puff, appelez-moi Winter s’il vous plait :3
Âge : 21 ans ~
Des remarques ? On m’a forcé à veni- Oh, c’est pas ça ? Et bien, je suis contente d’être là ! Merci à mon chevalier qui se reconnaîtra sans peine ^^
Que pensez vous du forum ? Qu’il est extraordinaire et je m’en serais voulu de passer à côté ♥
Qu'êtes-vous ? Une corneille noire comme la nuit voletant dans le vent insolant de la vie. Ballottée, je suis arrivée jusqu’ici pour vivre des aventures avec mes nouveaux amis.

Oui, j’avais envie de faire des rimes, et alors ?


(c) Gnuh de Never Utopia.
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Thelos
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C'est avec plaisir que je valide ta fiche, Tiara !

J'ai pris plaisir à la lire, on s'immerge assez facilement dans l'univers à la fois noble, un brin pédant et aussi volontaire de ton perso. Parfois, on manque un peu d'explications ou de justifications, le pourquoi cette demoiselle a eu l'envie de s'investir pour les autres jusqu’à ramper dans les bois plutot que trouver un joli masque pour son visage et continuer le chant par exemple. Mais c'est un bref détail, en général tout est bien ficelé.

J'ai donc plaisir à te repeindre en ... turquoise, donc, et je t'invite à aller voir la procédure pour faire ta T-Card ! Bon jeu a toi !
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