Feuille de personnage Pokémons: Vous:
| Dim 20 Déc 2015 - 16:56 | |
Fiche d'identité. Kise - kuroke no Basket | | | | Nom : Galt Prénom : Johnathan Âge : 25 Lieu de naissance : Phi Ville de départ : Phi Allégeance : Phi Groupe : Soldat (ambition Soigneur) Starter : Ténéfix Repro : Soin Talent : Regard Vif
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Ton Caractère
Né et élevé dans une région paisible, je n'ai pas connue ces vicissitudes qui rendent la vies des autres merdiques et la mienne agréable. J'ai eu des parents aimants, j'étais leur seul enfants, et pourtant, je ne suis pas un enfant roi, j'ai suivi une scolarité normal qui à fait de moi un jeune homme équilibré, intelligents et compétent. Sans me faire violence, je peut facilement engager la conversation avec un inconnu, pourvu qu'il ne me menace pas et qu'il se montre lui aussi ouvert. Je suis quelqu'un d'ouvert, affable, un peu naïf, sans doute, et j'ai la fâcheuse habitude de chercher des excuses à tout le monde. Ayant suivi un cursus supérieur, j'aime à penser, sans méchanceté, que j'ai quand même quelques capacités mentale de plus que le commun des mortels, mais sans me prendre pour un savant, je sais ou est ma place. Cela dit, j'aime beaucoup réfléchir sur tout un tat de problèmes, au grand damne de mon père qui aimerais que je reste concentré sur le travail. Je passe beaucoup de temps à lire, sur tout et n'importe quoi, tant que cela améliore ma culture général, et bien évidemment, mon sujet de prédilection est les pokémons. Selon moi, ma plus grande qualité vient de mon flegme. Pour d'autre c'est mon plus grand défaut. Je ne m'énerve jamais, rarement, et vous auriez bien de la peine à m'émouvoir en me criant dessus de toute la puissance de vos poumons, cela me laisse de marbre. Je suis imperméable à la critique et à pas mal de chose, mais je ne suis pas insensible pour autant. J'aime la vie et les gens, en général.
Ton physique.
Salut, c'est moi sur les deux photos juste avant. Comme je n'ai jamais souffert de la faim, je n'ai pas pas eu subir les troubles de la croissance qui pourraient affecter les enfants d'autre régions moins favorisé que les autres. C'est pourquoi j'affiche un mètre quatre vingt dix sans le moindre complexe. On dit que je ressemble à mon père, mais que j'ai les yeux de ma mère, je suis plutôt enclin à le croire. Mon visage fin, aux pommettes hautes me donne un air patricien, renforcé par une peau tannée à force de travailler extérieur. Mes cheveux, d'un blond presque blanc à ma naissance, ont finit par se teinter pour ressembler à des fil d'or et de cuivre, selon l'angle ou la lumière. tout comme mes yeux, d'un brun si clair qu'il parait comme de l'or, lui aussi. Pas de problème à signaler de se coté là, une bouche aux lèvres fines qui affiche en permanence un sourire un peu narquois mais gentil, qui en fait craquer certaines et en énerve certains, j'ai de bonne dents, sinon. Comme je suis taillé dans la hauteur, je suis assez mince, plus en nerfs qu'en muscle. Je ne fait pas particulièrement attention à faire du sport, mais une vie en extérieur et mes loisirs suffisent à me maintenir en forme, et j'ai, pour ainsi dire, pas un pet de graisse sur la carcasse, carnivore, passer votre chemin. Je ne possède pas de signe distinctif qui font la fierté des psychopathes et des débiles tueurs/orphelins/avatar de la mort en tout genre, ni tatouages, ni marques de naissance, ni couleurs anormales des yeux ou des cheveux. Bref, qui puisse faire peur.
Ton histoire. Comme je disais plus haut, je suis né dans la ville de Phi, bien que ville soit un terme assez peu qualifié pour définir ce réseaux de petites bourgades perdu dans la nature,formant les quartiers de cette ville. Phi, l'opulente. Sous un climat clément ou personne ne souffre de la faim, naissent des gens porté sur l'amour des choses qui poussent. Ce sont donc des gens patients, qui savent réfléchir à long terme, et pour qui l'amour de la terre l'emporte sur toute autre considération. Ainsi est Phi, qu'elle fut et qu'elle sera dans l'avenir, elle qui à toujours su éviter les cataclysmes en tout genre et s'épargner les affres de la guerre et de la dévastation, avec son cortège de viols, de pillages et synonyme de rivière de sang des innocents.
Mes parents , pour ne parler que d'eux, sont propriétaire d'une ferme. Pas la ferme que l'on se fantasme dans ces villes sans âmes, mais plutôt une exploitation de grande taille, sur quelques centaines d'hectares. Cette exploitation permettait à mes parents de vivres confortablement du fruit de leurs labeur. Beaucoup de travail était fait à l'aide de pokemons, nous les traitions bien. C'est là que j'ai grandi. Notre exploitation était plutôt maraîchère, nous cultivions toute sorte de légumes, de fruits, et d'autres choses, le but étant de couvrir le plus large éventail possible de clients. Chaque centimètres carré était donc rentabilisé au maximum. Cela peut paraître une mauvaise façon de faire, pourtant, nous faisions tout sans la moindre utilisations de pesticide ou d'autres produits. Tout y était aussi naturel qu'a l’origine des temps, et la rotations des cultures, la permaculture et les jachères nous assuraient des sols riches et fertiles. Et avec l'aide des pokemon, évidemment, dont l'inestimable contribution était la clé de voûtes de tout le système.
Naître à Phi pourrait paraître ennuyeux à un œil extérieur, habitué à l'activité de ruche d'un citadin ou bien au combat pour la survie d'un habitant du désert de Kappa. Pourtant, enfant, je n'ai jamais manqué de m'amuser, moi et mes camarades. Phi est un labyrinthe de bois et de forêts, de petits courts d'eau cachés sous la voûtes des arbres, il y faisait bon vivre, et nous nous amusions avec les pokemon sauvages, qui n'attaquaient que très rarement les enfants humains, sans doutes peuvent ils sentir que nous ne sommes pas encore capable de raisonnements poussés, et que cette naïveté fait de nous de bon compagnons de jeux, c'est une théorie qui me plait.
J'ai donc grandis entouré d'une famille aimante, de compagnons de jeux de mon âge et de Pokémon, ils n'étais pas rare chez nous, loin de là, et les enfants apprenaient très vite à ne pas en avoir peur. Enfant, j'ai suivis une scolarité normal jusqu’à la fin de mon cycle secondaire. Déjà bien entré dans l'adolescence, j'avais la fâcheuse habitude à réservé tout mon temps libre à mes loisir, qui consistait surtout à m'amuser, quel que soir la façon. Je séduisais les filles des autres propriétaires dans l'espoir d'une relation charnelle, ou bien je faisait de longues ballade en vélos, je lisais, je nageais dans la rivière, je jouait de la guitare, bref, j'avais pas le temps de m'ennuyer.
Il n'y à eu que deux événements marquant dans ma vie, qui méritent vraiment qu'on s'y attardent un peu plus que mes histoires de coureur de jupons. Le premier, quand j'avais dix ans, alors que nous jouions dans la forêt, j'ai été victime d'un effondrement de doline. Par miracle, je n'avais rien de vital en me réveillant, mais j'était dans le noir le plus complet, et la panique m'envahit quand je me rendit compte que j'étais sous terre. Après avoir pleuré toute les larme de mon corps et m'être, du coup, déshydraté, j’entamais une exploration hasardeuse, à tâtons, qui sembla durer des jours,alors que part la suite, j'appris que je n'étais resté sous terre, dans ces grottes, qu'une paire de jours très angoissant pour mes parents et moi même. J'y serais rester bien plus longtemps sans Ténéfix.
Qui sais depuis combien de temps ce pokemon vivait la, dans une obscurité étouffante ? Seul ? Je croit que j'ai été le premier être vivant qu'il voyait depuis très longtemps. Trop heureux de me voir, Ténéfix m'a rassuré et ma amener à une source ou j'ai bu boire tout mon soul, et chopper une colique aussi. On y reviendra. Je me souvient que la seul lumière venait de ce pokemon, une lueur spectrale, blafarde, mais en même temps, chaleureuse. D'autres auraient été effrayés par ce sourire plein de dents, ce regards froid comme les joyaux qui le composaient, mais il n'en était rien. Il m'a sauvé la vie, ce Ténéfix, et me montrant la source, et en m'indiquant le chemin vers la sortie.
Je me souvient que la lumière d soleil m'a brûlée la rétine, j'avançais en titubant, fatigué, transit de froid, rongé par la faim. Les secours étaient là, ils se préparait à entrer dans la grotte à me recherche. Ma mère m'a soulevé pour me serrer dort contre elle, et m'emmener à la maison, en me retournant, je n'ai pas pu le voir, mais je savais qu'il était là, et qu'il regardait. J'expliquais le tout à mes parents et aux secours, et l'on décida de condamner l'entré pour éviter d'autres accidents. C'est à partir de ce moment que Ténéfix ne m'a plus quitté. Il avait quitté la grotte bien avant qu'elle ne soit condamner, et il s'est mis à me suivre, discrètement, de loin, comme un ange gardien. Et puis au final, c'est devenu bien plus que ça, un ami.
Rien n'a vraiment changé depuis, Ténéfix est devenu mon pokemon, ce fut son choix, je fut le déclencheur de la rupture de son isolation, volontaire ou pas, dans ces grottes obscurs, et chaque jours qui passe, j'essaie de faire en sorte qu'il ne me quitte pas, car s'il en décidait ainsi, je ne pourrais pas l'en empêcher.
Ce pokemon est un vrai farceur, un comique née, qui ne passe pas une minute sans tirer la grimace, faire quelques pirouettes en l'air et passer à travers les murs pour surprendre son monde, au grand damne des adultes mais au grand bonheurs des autres enfants.
Le deuxième événement, celui qui m'a orienter vers l'objectif que je me suis fixé, est arrivé bien plus récemment. Il y a deux ans, une maladie à frappé le secteur de Phi ou je vivais. Accident ? Naturel ? Attentat ? Nous ne l'avons jamais su, mais nous lui avons donner un nom, pour nous l'approprier, ce fut le triste épisode de la fièvre écarlate.
Cela commença dans les campagnes avant de toucher la ville, une fièvre, violente, d'origine virale, s'est mise à frapper humains et pokemon sans discernement. Les symptômes étaient les mêmes pour tous. Fièvres, évidemment, rougeurs sur le corps, saignements de la peau et des orifices, vomissements, et puis, pour beaucoup, la mort. Je ne pourrais pas oublier ce sentiments d'impuissance qui s'est emparé de tous alors que nous luttions contre la maladie qui décimait humains et pokemons sans faire de distinguo. Je fut moi même frappé, comme tant d'autres. Je restait une semaine alité, en proie à une fièvre si forte que je délirais en hurlant la nuit, si bien qu'il fallut se résoudre à m'attacher au lit. Dans cette période ou mon sort fut suspendu entre la vie et la mort, la seul ancre qui me permit de ne pas sombrer dans la folie fut la présence de Ténéfix. il se joignit à l'effort, et il passais ses nuits à me veillé, essayant de me faire rire,alors que mes yeux encombrés de croûte distinguaient à peine les motifs sur le papier peint des murs. C'est lui et ma mère qui se relayaient pour éponger mon front brûlant, pour essayer de faire chuter ma température, m’hydrater au compte goutte, car je vomissais tous ce qui atterrissait dans mon estomac. Je perdit dix kilos en une semaine, puis soudainement, aussi vite que cela était arrivé, la maladie repartit, par une belle journée d'été. J'avais survécut, mais le traumatisme était grand. Il y eu beaucoup de mort à enterrer après cela, et les autorité sanitaires passait de fermes en fermes pour prélever des échantillons, a fin de trouver un remède, au cas ou la maladie reviendrais. Personne n'est en mesure, actuellement, de l'expliquer, et les théories les plus fumeuse circule à son sujet. comme beaucoup de communauté, nous pointâmes du doigt l'extérieur, nos rivaux des autres cités, mais sans preuves, difficile d'accuser qui que ce soit.
C'est à ce moment là que je décidais mon incorporation dans les forces de défenses en tant qu’apprenti soigneur. Et c'est à ce moment là que mon histoire rejoint le présent.
Et vous ? Prénom : (Facultatif) Âge : (Facultatif) Des remarques ? (Facultatif) Que pensez vous du forum ? On va vite être fixé hein ^^ Qu'êtes-vous ? La chose des marais |
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