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# Forum créé le 30 Mars 2015 par Trish et Thélos.
# Thème par Trish
# Codage de Never Utopia et Simon Asbjörn
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Contexte
Eius populus ab incunabulis primis ad usque pueritiae tempus extremum, quod annis circumcluditur fere trecentis, circummurana pertulit bella, deinde aetatem ingressus adultam post multiplices bellorum aerumnas Alpes transcendit et fretum, in iuvenem erectus et virum ex omni plaga quam orbis ambit inmensus, reportavit laureas et triumphos, iamque vergens in senium et nomine solo aliquotiens vincens ad tranquilliora vitae discessit.
Evénements
Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli ?
Duplexque isdem diebus acciderat malum, quod et Theophilum insontem atrox interceperat casus, et Serenianus dignus exsecratione cunctorum, innoxius, modo non reclamante publico vigore, discessit.
Listen the war rage on
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 Yuki Yonde

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Yuki Yonde
Yuki Yonde

Yuki Yonde



Fiche d'identité.


Yuki Yonde 354861YukiPleiku
Allen Walker - D.Gray-Man
Nom : Yonde
Prénom : Yuki
Âge : 21 ans
Lieu de naissance : Kappa
Ville de départ : Phi
Groupe : Dresseur
Starter : Dimoclès




Ton Caractère



Utopiste... Oui, je pense que c'est le premier mot qui devrait être en première place pour cerner mon caractère. Je n'ai pas vraiment eu la chance de grandir dans un monde de bisounours, et je ne me suis jamais vraiment comporté comme tel, mais je pense que c'est pourtant bien là le fin mot de ce que je peux être, au fond de moi. Ce qui m'éclaire, en somme. Je ne crois en effet guère aux principes du bien ou du mal, ces carcans créés par l'homme dans son besoin de catégoriser les choses... Un mal nécessaire pour pouvoir faire régner une justice en ce monde, me direz-vous ? Je vous répondrais foutaises. La justice, à l'instar du bien et du mal, est quelque chose propre à chaque personne. Voler, c'est mal. Voler pour manger, l'est-ce vraiment ? Tuer, c'est mal. Tuer un tueur, l'est-ce vraiment ? Les bien-pensants, pour sûr, répondrons que tuer reste mal, peu importe la forme... Ces gens-là, en général, ne connaissent rien à la vie. Tuer pour se nourrir, n'est-ce point dans nos gènes ? Toutes les espèces vivent sur cet adage. Les carnivore, bien sûr, mais le crime n'en est pas moins un chez les herbivores. Certes, ce sont des végétaux, mais n'a t'on guère prouvé que la végétation vivait, elle aussi ?

Je pense que vous l'aurez compris, en plus d'être idéaliste, cherchant la paix à travers les cœurs, je n'en reste pas moins proche de la nature, et ce depuis que j'ai été éveillé à la culture de cette cité, au cœur de la grande dévoreuse des terres de Phi. Je n'étais pourtant pas bercé là dedans, dans ma jeunesse... Mais comme happé par cette atmosphère de paix, de tranquillité, j'ai appris à écouter, à observer. Il n'y avait qu'à voir la merveilleuse cité de Phi, si sublimement entremêlée à la jungle pourtant sauvage qui régnait sur des lieux à la ronde. Néanmoins, je pouvais voir, chaque jour un peu plus, la pureté de ce symbole. Humains et Pokémons, liés, évoluant côte à côte malgré toutes leurs différences. Magnifique vue... Comment, dès-lors, est-on censé rester combatif ? Comment peut-on, après avoir vu une telle symbiose, vouloir encore se battre ? Sans doutes en partie car cela reste nécessaire, oui, et que le monde n'est guère la bulle dans laquelle on évolue.

C'est à Kappa, durant mon enfance, que j'ai pu observer cela. La vie, en réalité, n'est guère rose. Je l'ai toujours su... Mais je ne pouvais oublier, et tel est aujourd'hui mon fardeau : Le doute. Plus jeune, lorsque je ne connaissais que la dureté du monde, je ne pouvais guère penser un seul instant à une vie pacifique, sans querelles aucune. Les êtres humains sont tous si différents... Parfois, il faut se défendre. Parfois même, il faut attaquer, pour la survie. Mais à côté de cela, de cette féroce conviction que le combat restait capital, je voyais aussi l'autre côté de la pièce : Phi. Ce lieu de paix, en communion avec la nature. Pourquoi donc tant de violence ? Par nécessité. Mais rêver d'un idéal, n'est-ce pas non plus une nécessité pour avancer ? Deux faces d'une même pièce, et pourtant, je ne peux que rester sur la tranche.





Ton physique.



A quoi est-ce que je ressemble ? Mais à quoi donc sert donc cette fichue photo d'identité alors ? Décidément, la paperasse... M'enfin. Par où commencer ? Du haut de ma vingtaine d'année, je possède une taille tout ce qu'il y a de plus banale, pour un homme tout du moins. Un tout petit peu moins d'un mètre quatre-vingt, pour un poids de 70 kilos. Fin, me direz-vous, non sans tort. En effet... Mais pas pour autant allumette. De par mes nombreuses pitreries d'enfant, ainsi que de par mes entraînements d'adolescent, ma musculature s'est considérablement développée. Elle n'est pas proéminente, bien sûr, et j'en suis d'ailleurs fort aise, mais elle reste cependant largement suffisante pour me permettre de soulever deux épées en cas de bataille imminente avec un ennemi. Mes jambes, d'ailleurs, sont elles aussi suffisamment pour me permettre de courir me cacher : Sait-on jamais, imaginons un enfant se faire prendre la main dans le sac en train de faire une bêtise... Oui, cela aide.

Détaillons le visage maintenant, car je n'ai pas envie de vous parler du reste de mon anatomie. Mes yeux, d'un gris très clair, ont tendance à trahir mes émotions... Ou bien le temps qu'il fait. Eh bien oui : Avoir les yeux clairs, c'est joli, mais quand il fait beau, même si ça teint d'azur votre regard, c'est très gênant quand on les porte. Pour ce qui est de mes cheveux, vous l'aurez remarqué en voyant la pièce d'identité ci-jointe, ils sont d'un blanc immaculé, ou bien légèrement argentés. Là encore, vous savez, suivant les reflets que le temps renvoie... Pas commun, n'est ce pas ? Question de génétique, je suppose, je les ai toujours connu ainsi... Ah, oui, dernier point : J'ai une cicatrice, sur le visage, au niveau de mon œil gauche. Fort heureusement, je l'ai fait recouvrir d'un tatouage, lors de ma jeunesse, à Kappa. Mais bon, je vais vous en parler un peu plus dans mon histoire...

Enfin, je conclurais sur mon style en général, chose qui effectivement n'est pas forcément visible à première vue sur la photo ci-jointe. En effet, pour accompagner ma chevelure immaculée et mes yeux gris, je porte souvent des habits plutôt amples et confortables, bien loin des traditionnels costumes ou autres smokings qu'il est possible de voir à des dîners mondains. Bien sûr, j'ai néanmoins des habits différents en cas de nécessité : Si je porte de manière générale des vêtements amples agrémentés d'une cape de voyage, j'ai également de quoi parer à des situations climatiques plus variées : Short de plage et torse nu en cas de chaleur trop importante, j'ai également prévu de me munir d'habits plus chauds, en fourrure, au cas où mes voyages viendraient à me mener dans les steppes glacées d'Omicron ou dans les plus hauts sommets de Zêta. Sinon, en termes de couleurs, il faut bien avouer que je n'y porte guère vraiment attention. Je porte également toujours sur moi, dans mon dos, le bâton dont je me sers en cas d’extrême nécessité, ayant finalement appris à le manier comme il le fallait au terme de nombreux entraînements. Eeeet... Je crois que c'est à peu près tout, pour le coup.





Ton histoire.



La vie n'est pas quelque chose de beau. Enfin, du moins, je ne le croyais guère au début, lorsque je vivais avec ma mère, dans la dure cité de Kappa. Celle-ci n'avait jamais vraiment voulu me parler de mon père, si ce n'était qu'il s'agissait d'un homme de Phi. Elle l'avait rencontré je ne savais guère trop comment, vu que celle-ci n'avait jamais voulu pousser les détails outre mesure, mais j'ai appris de sa bouche être né de cette union ponctuelle. Elle n'était pas vraiment du genre à beaucoup causer, ma mère, vous savez... Non pas qu'elle ne tenait pas à moi, bien sûr. Je sais très bien qu'au fond, elle a fait tout ce qu'elle pouvait pour subvenir à mes besoins. Tatoueuse de faible renommée, mais surtout employée à faire le ménage par-ci et par-là pour grappiller des sous en plus, ses revenus n'en restaient pas moins bien maigres, et nous peinions à manger décemment une fois que le loyer et toutes les diverses charges, pourtant strict minimum, venaient à se faire payer, après moult retards.

Sans doute étais-ce à cause de cela, entre autre, que je passais mon temps d'enfant à faire des bêtises, accompagné de mes petits camarades d'école. Une bande de petits garnements de 8-9 ans, pas plus hauts que trois pommes, mais qui de temps en temps, pour le coup, en attrapaient une ou deux sur les stands du marché, furtivement, avant de se perdre dans la foule. Comprenez bien : Ce n'était pas par plaisir que nous volions de la sorte. Nous connaissions les principes, bien sûr, les valeurs morales... Mais comment pouvions nous y croire ? Refuser de donner une pomme à un enfant de 8 ans, qui n'a pas de quoi s'en payer une... Nous ne comprenions pas ça. Alors oui, notre faim nous poussait à voler un petit quelque chose, à l'occasion, à défaut d'avoir de quoi se permettre de se l'offrir, que ce soit sur le marché ou même à la maison.

Le problème, c'est qu'à force de faire des farces aux gens ou de vouloir leur dérober une petite friandise, on finit toujours par tomber sur plus malin que soit, ou à défaut, plus fort. Vers mes dix ans, alors que je partais justement rejoindre mon groupe d'amis, j'eus le malheur de convoiter une belle grappe de bananes, posée sur le bord d'une table légèrement plus basse que moi. J'entrepris donc de me baisser, tentant de subtiliser la grappe de fruits sans me faire voir par le marchand. A part que ce qui devait arriver un jour arriva, forcément. Alors que j'attrapais d'un geste furtif le précieux, une main ferme, violente, attrapa mon poignet avec fougue pour me redresser du sol.

Le vendeur m'avait vu, et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce spectacle ne l'attendrit pas le moins du monde. Vociférant des propos que je ne comprenais guère bien au vu de ma peur, je n'ai dès lors que le souvenir d'une gifle, violente. Bien plus violente que celles de ma mère... Bien plus violente que ce que je n’avais jamais ressenti, en fait. Le type me fit tomber au sol suite à cette démonstration de puissance, relevant l'arme du crime pour me montrer la direction de la fuite : sa grosse main aux lourdes bagues d'acier.

C'est depuis ce jour que divers événements se mirent en place. En premier lieu, bien sûr, je retournais chez ma mère pour me faire soigner le visage, l'impact des bijoux d'acier m'ayant lacéré au-dessus de l'œil gauche, ainsi que sur la joue du même côté. Je me pris d'ailleurs de sévères remontrances de ma génitrice, qui resta néanmoins compréhensive. Mais depuis ce jour, l'ambiance changea. Plusieurs habitants de la cité, sans doutes prévenus par le marchand, me regardaient : Avant, je n'avais pas ce privilège, de me faire observer... et je m'en serais bien passé, car ce regard n'avait rien de gratifiant. Il était de l'ordre de celui que l'on adressait à la racaille, aux gens méprisables. Je n'étais plus un enfant, pour certains d'entre eux, mais un de ces petits fauteurs de troubles. Autant vous dire que déjà que nous nous ne jouissions pas, ma mère et moi, d'une bonne renommée, cela ne s'arrangea guère depuis.

C'est également à cet âge là que je commençais à jouer aux chevaliers, accompagnés de ma bande de reclus. De simples morceaux de bois, mais des rêves plein les yeux. Je me voyais manier Kaoss, affrontant moult vilains pour aller secourir une belle princesse. Oh, mais maintenant que je l'écris, je remarque que je ne vous ai pas encore parlé de Kaoss, le protecteur de la famille. En effet, si cette femme et son enfant n'avaient guère de représentant patriarcal dans la famille pour imposer son aura protecteur, il y avait pour cela Kaoss, le Dimoclès de ma mère. Un Pokémon qui en imposait, que ma mère tenait vraisemblablement de son défunt père... Pourquoi n'avait-elle jamais été se battre à ses côtés dans des matchs ? Cela aurait pu être une solution de plus pour gagner menue monnaie, me direz vous, que de participer à de petits tournois... Oui, cela aurait pu.

Mais ma mère n'avait jamais voulu, que ce soit de le faire elle même, ou de me laisser le faire moi même, bien que j'en trépignais d'envie. La violence... Telle était la chose que ma mère haïssait le plus. Ce n'était pour elle guère une solution, et elle ne voulait même pas l'envisager comme un moyen, à mon grand damne. Pourtant, j'aurais dû en être l'exemple concret, non ? Son fils s'était fait défigurer, et en elle, pas une seule braise de vengeance ne semblait s'embraser. C'était cela qui me poussait à justement m'entraîner au maniement de l'épée en cachette, avec mes amis... Alala, début de l'adolescence, l'âge du défi des règles.

Tout finit cependant par se taire, un jour sombre de ma quinzième année, alors que je revenais d'une petite sortie entre amis. Je ne m'imaginais pas alors, en partant quelques heures plus tôt, que ce serait la dernière fois que je verrais ma mère. Je le découvris avec horreur, dans une lettre posée sur la table de la maison. Ma mère m'y annonçait qu'elle n'allait plus pouvoir me voir. Qu'elle était malade... Que je me devais d'être un homme, maintenant... Que je devais voir le monde, comme je le voulais depuis tout petit.... Pour dire vrai, je n'ai jamais terminé cette lecture. Je n'ai fait que de tirer les conclusions logiques qui s'en suivaient. Seul, assis dans les marches de l'escalier à tenter de me retenir de pleurer, je n'y arrivais bien évidemment pas. C'était une lettre d'adieu. Elle était malade, et je n'avais rien vu. Oh, si, bien sûr, j'avais bien vu qu'elle travaillait plus ces derniers temps, mais comment deviner la raison ? Maintenant, tout me semblait plus limpide... Des frais médicaux, sans doute. Pourquoi ne m'en avait-elle jamais parlé ? Même aujourd'hui, je ne le sais pas. Mais je peux vous dire sans hésitations que ce jour fut le plus pénible de ma vie.

Comment voulez-vous vivre en paix avec ce genre de souvenirs ? Vous ne le pouvez guère... Tourmenté, en proie au chagrin, à la colère, j'avais pris pour habitude de libérer Dimoclès de sa pokeball pour lui parler, n'ayant plus ma mère à ces fins. Enfin, je vous dis ça, mais cette période où je vivais seul dans la maison de ma mère ne dura guère longtemps. Une petite semaine tout au plus, à glaner les provisions qu’il nous restait, exaltant ma haine et ma tristesse à Kaoss. C'est étrange, hein, de parler à un Pokémon ? C'était ce que je me disais en ce temps-là, habitué à la politique de maître à esclaves de la cité. Mais cela me répugnait... Les Pokémons valaient plus que bien des humains, j'en étais persuadé. Et c'est à force de me morfondre que la lumière jaillit...

Repensant à l'anniversaire de mes quatorze ans, où ma mère m'avait fait ce tatouage au visage pour camoufler ces affreuses cicatrices (Non sans moult négociations d'ailleurs, heureusement que ma mère, dans le métier, avait pris toutes les précautions nécessaires), je ressassais la discussion que nous avions eue... Sur le fait de voyager. Sur la découverte du monde. Qu'il n'était pas fait uniquement de sable et d'oasis, mais que là-bas, loin par delà les dunes, des terres fertiles régnaient, entre montagnes, jungles et déserts de neige. Qu'elle aussi, elle aurait aimé voyager, mais que nous ne pouvions nous le permettre de par nos faibles moyens. Que ce n'était pas pour nous, voilà tout... Je repensais alors à sa lettre, et tout cela ne formait plus qu'une seule voie dans mon esprit, tourmenté par la haine de ces gens qui jamais ne nous avaient aidé, pas même à l'aide d'une simple pomme...

J'allais voyager. J'allais voir le monde... Mais que faire, où aller ? Je n'avais que de maigres pièces, reste des économies de ma mère, et que Dimoclès à mes côtés... Je ne mis que peu de temps pour réfléchir à ces questions : Je n'avais de toutes manières qu'une seule possibilité dans cette voie : Celle de rejoindre Phi, et de tenter de retrouver mon père. Mais oui, c'était cela, la voie à suivre ! Graissant la patte d'un des gardes du convoi de nourriture provenant de Phi, je le convainquais de me laisser les accompagner jusqu'à leur cité, afin d'y retrouver mon père suite au décès de ma mère... Etais-ce cela, ou bien l'argent ? Dans tous les cas, ils finirent par accepter, et c'est ainsi qu'après un bien long voyage, je rejoignis Phi.

Et me voilà, sept années plus tard. Si j'ai su enfouir ma haine et ma tristesse, je n'ai cependant guère pu retrouver mon père, chose prévisible. Comment aurais-je pu, en réalité ? Je ne connaissais ni son nom, ni son visage. Nouvel échec dans ma vie. Je réussis néanmoins à m'accrocher, offrant mes services pour des besognes ménagères à la manière de ma mère, nichant dans une petite cabane laissée à l'abandon dans un arbre un peu reculé de la cité. Je survécus ainsi, et découvrit alors que parmi les hommes existaient aussi des bons. De ceux qui par générosité, par peine pour l'autre, acceptaient de donner un petit quelque chose, que ce soit en nourriture, ou en supplément d'argent. Ce contact humain, de petit jeune se rendant au domicile d'ancêtres pour diverses tâches ménagères, me redonnait peu à peu foi au genre humain, et je repensais tendrement à la douceur de ma mère, à son rejet de la violence.

Oui, il y a des hommes bons. Mais il y a également des hommes mauvais, et cela, je ne l'ai guère oublié, ces dernières années, continuant à m’entraîner au maniement des armes, contre Dimoclès cette fois-ci. J'avais troqué mes branches de bois pour un solide bâton qu'un vieillard m'avait donné au grès d'une confidence, n'éprouvant plus lui-même le besoin de le posséder. J'appris ainsi à me battre, priant néanmoins pour ne jamais avoir besoin de recourir à cela. Et puis, j'avais Dimoclès pour m'épauler.

C'est ainsi que partant des ténèbres, j'ai fini par me refaire, loin de ma terre d'origine, mais me sentant pourtant réellement de Phi. J'avais appris, au grès des pauses de mes entraînements, à observer cette nature, si brute et pourtant si douce. Durant le dernier tiers de ma vie passée, j'ai pu ainsi contempler la paix, la véritable, celle que ma mère chérissait, et que j'avais appris à chérir également...

Jamais le passé ne s'oublie, j'en suis conscient... Mais c'est aujourd'hui debout que je fais face à l'avenir, les yeux pleins de rêves, comme jadis...




Et vous ?


Prénom : Benji'
Âge : Parfait
Des remarques ? Plein !
Que pensez vous du forum ? Très bon, petit bémol sur les fondateurs
Qu'êtes-vous ? Cela dépend. L'adjectif le plus récent était "Péché Originel"... Mais bon, dans l'ensemble, je peux être un peu près tout et n'importe quoi.


(c) Gnuh de Never Utopia.
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Créateur
Créateur
4/8

Longueur 1.5/2

Plus que le double pour l’histoire rien à dire. Pareil pour le caractère, mais beaucoup moins pour le physique.

Cohérence 1/2

Caractère humain, pas de gros bill, en bref, rien à dire de ce côté-là.
Physique cependant pas très en adéquation avec les origines du personnage, cheveux blancs, peau blanche etc… Tu ne dis pas de but en blanc que le gosse est albinos. Il n’a pas l’air de craindre le soleil plus que ça malgré son enfance à Kappa. La cicatrice à l’œil ok pour justifier l’avatar, mais bon, avec pareil cicatrice je pense que ton perso aurait dû perdre son œil x) Puis se faire tatouer à l’âge de 12 ans ? … Mmh moyen là aussi, même si c’est un univers inventé, les tatouages à un jeune âge reste risqués, surtout avec la déformation qui suit quand le môme grandit.

Histoire : Que tu le saches, tous à Kappa ont une vie précaire, ça ne change rien à ta note. C’est juste pour te le dire x) La vie dans cette cité est pas facile, que ce soit pour les gros bonnets ou les petits. Ils vivent en sous-sol la moitié du temps et font du mieux qu’ils le peuvent, alors même si les dirigeants ont de meilleurs condition de vie, elle reste tout de même précaire en rapport à Phi par exemple.

La mère qui tombe malade et  s’en va sans plus qu’une lettre ? Ou est-elle passée ? Ton perso ne le sait pas, certes, mais pourquoi maintenant ? Pourquoi comme ça ? Puis pourquoi a-t-elle laissé Kaoss ? C’est son Pokémon à la base, hérité de son père si j’ai bien compris. Tu parles de décès d’un coup dans ton histoire, alors que jusqu’à présent, elle était juste partie car elle était malade. Ta maman est morte ou pas ?

Le pokémon qui arrive de nulle part, juste pour dire que c’est un Dimoclès. Héritage de famille, un peu facile, surtout que Exagide & co sont des Pokémon qui choisisse leur maitre. Ou du moins ses faveurs x)

Tu arrives  à Phi… et c’est tout ? Tu sais à Phi on aime pas beaucoup les gens de Kappa, donc même s’il les tolère, sans bonne raison, ça va être difficile d’y rester pour y vivre, malgré que ce soit une cité très ouverte.

Originalité 1/2

Sinon plutôt original, on va dire. Personnage très terre à terre, même si je trouve le coup de « Remi sans famille » rébarbatif à la longue, une mère malade (ou morte ?) un père absent et inconnu ? C’est un peu la même chose et facile pour prétexter un voyage. J’aurais aimé que ton perso trouve un mentor, quelqu’un sur qui s’épauler, il est tout seul avec son Pokémon et évolue tout seul. C’est dommage, ça aurait ajouté un peu de peps.

Qualité d’Ecriture 0.5/2

Plusieurs fautes, d’inattention souvent, mais tu aurais pu te relire pour les éviter.


Tout juste la moyenne, qui ne te permette pas d’avoir un Dimoclès malheureusement, tu commenceras avec un Monorpale, sauf si tu décides de modifier ta présentation pour gratter quelques points, tu as deux semaines pour modifier ta présentation à partir de maintenant, si tu ne souhaites pas faire de modification, merci de prévenir. Tu seras alors validé avec un Monorpale qui possédera Charge – Danse-Lames – Taillade – Strido-Son et une attaque repro de ton choix.
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Yuki Yonde
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Fiche éditée après discussions et explications.

-> Description physique rallongée (Je n'avais en effet guère parlé du style vestimentaire)
-> Fautes corrigées (du moins, celles que j'ai vu, même si je me doute que ce n'est pas l'intégralité x') )
-> Ayant un peu de mal à comprendre ce qui m'est reproché en terme d'originalité vu que je trouve tout de même mon histoire pas banale et qu'au contraire, la remarque qui m'a été faite l'aurait rendue plus banale à mes yeux, je n'ai guère vraiment modifier ce point.
-> Modification de l'age du tatouage à 14 ans, avec rajout d'une petite parenthèse à ce sujet.
-> Ajout d'une petite remarque sur l'origine génétique de ma chevelure blanche. Comme je le disais récemment : Mon personnage n'est guère Albinos. Un enfant peut avoir des cheveux presque blancs dès la naissance en vraie, le personnage de Lal n'est guère Albinos alors qu'elle a les cheveux blancs, j'vois pas trop ce qui m'était reproché sur ce point une fois de plus, mais bon.


Et ensuite, trois petites choses que je n'ai guère modifié :

-> Concernant l'arrivée de Dimoclès dans la famille, je n'ai pas trouvé cela utile de détailler comment le pokemon est arrivé dans mes famille (surtout que je ne le sais pas, et que faisant le récit à la première personne, je ne pourrais guère le dire de toutes manières).
-> Concernant ma mère : La clé est justement là. J'ai essayé de retranscrire le flou dans l'esprit de mon personnage suite à cette mésaventure plutôt saugrenue, en effet, et justement. Pour lui, sa mère est morte, c'est ce qu'il a pu tirer comme conclusion de ce départ et de cette lettre. Est-elle morte, ne l'est-elle pas ? J'en sais rien, dans tout les cas, tout porte à croire que oui.
->Concernant Phi : Mon arrivée n'a en effet pas été à bras ouverts, mais à forces de petits boulots ingrats pour des petits vieux, mon perso à finir par se lier d'amitié avec eux, et à s'intégrer de bouche à oreille petit à petit de la sorte, même si je me doute qu'il doit tout de même en rester qui bave dans mon dos car je ne suis pas originaire de Phi à la base, même si la cité est très ouverte. C'est même ainsi qu'il a pu adopter un style de vie plus digne sur la fin, s'étant vu attribuer une petite partie de l'héritage d'un vieillard de Phi avec qui il avait finit par se lier d'amitié (son premier employeur).



Voilà, je crois avoir éclairci chacun des points qui m'ont été reprochés, et je vous laisse donc juger une bonne fois pour toute de la note, puisqu'il faut bien un sacrifié à la science, et que visiblement, je suis le cobaye des expériences è_é...

Edit : Dernières ultimes éditions de peaufinage effectuées, j'aurais d'ailleurs du le faire avant ce message. Désolé. Mais voilà : Désormais, je ne touche plus à ma fiche.
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Niamh J. Laraens
Niamh J. Laraens
Alors, ta réévaluation te donne une note de 15/20. (car on a changé le système de notation pour la fiche, sur 20 c'était plus simple pour nous de bien évaluer chaque critère xD) Et donc cette note te permet d'avoir ton Dimoclès ! Avec les attaques Danse-Lames - Charge - Taillade - Strido-Son & une attaque repro au choix, n'oublie pas d'éditer ta T-CARD avant de commencer à RP et de la mettre dans ta signature.
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